Pourquoi croyons-nous obstinément que le moyen le plus efficace pour gérer le stress est d'agir directement sur le stresseur, alors que dans 95% des cas l'expérience nous démontre le contraire? N'y a-t-il rien de mieux à faire pour neutraliser les effets dévastateurs d'un message que de tuer le messager... comme dans la Grèce antique?

​

Les neurosciences nous disent que le stress est une douleur mentale indiquant la plupart du temps, que nous faisons appel à un mode de pensée inadéquat, incapable de gérer la situation.

​

C'est ce qui fait que, face à l'adversité, nous avons tendance à réagir de la même manière qu'une proie menacée par un prédateur, soit en fuyant, soit en attaquant ou encore en faisant le mort.

Tout se passe comme si nous étions encore conditionnés par les mêmes réflexes de survie que les reptiles et les mammifères qui nous ont précédé sur la planète et que nous ignorions que nous sommes dotés du territoire neurologique le plus évolué qui soit, le cortex préfrontal, un calculateur phénoménal capable de nous sortir tranquillement des situations les plus complexes et les plus inattendues, pour peu que nous le laissions faire.

 

Comment cela se fait-il qu'il soit si difficile de faire appel à ce territoire de la sérénité et que nous croyons y être quand nous sommes "seulement calmes"?

​

Vous découvrirez au cours de cet atelier la fonction de chacun des territoires neurologiques et leur rôle dans la production du stress et vous vous entraînerez à basculer du mode automatique de la survie au mode adaptatif de la vie​. Vous pratiquerez les deux clés permettant d'accéder au territoire de la sérénité, vous saurez le reconnaître et vous en servir pour rester zen dans la tourmente.